Les modifications au 42L2 ont reflété celles de Piaggio avec un plus grand réservoir de carburant et d'autres détails.

Les 92L2 Vespa étaient une mise à jour sur le 42L2, mettant à jour pour la première fois la mise en oeuvre presque simultanément avec Piaggio. Les changements les plus cruciaux étaient un légèr agrandissement du réservoir et du plancher, qui ont été étendus à la courbe ronde derrière les pieds du conducteur.
C'était la période où les ventes britanniques de scooter montaient de façon constante, et à un point Douglas a dû augmenter leur production avec des importations de l'usine française d'ACMA. On imagine que les machines d'Acma ont été préférées à celles de Piaggio Italie qui avaient le phare sur le garde-boue et violeraient donc des règlements d'éclairage britanniques.

Il y a eut plusieurs "éditions spéciales" pour répondre à l'appel de la mode :
· le "Magna" était équippé de lumières de stationnement ainsi qu'un siège double.
· le "Ultra" a comporté les dispositifs ci-dessus ainsi qu'un pare-brise et une crête de garde-boue.

Magna et Ultra étaient disponible, en plus du gris habituel de colombe ("Dove Grey"), dans des coloris supplémentaires; blue "City Black and "Mayfair Red".

Les années 1956-59 se sont charactérisées par une montée en puissance de la scène scooteriste, dans ce pays. Cette popularité à fait que la 92L2 est devenu incontournable dans le tissu social de la Grande-Bretagne, ce qui ne s'était et ne se reproduit jamais avec les modèles ultérieurs.
Des scélérats dans quelques villes (cependant pas ceux expédiant) ont été appréhendés par la police équippées de 92L2s. RAC pouvaient compter sur les services des "Patrolettes" sur leurs 92L2 bleues.
Les gens sont partis en vacances, sont allés travailler, se sont marier sur elles. La 92L2 n'était jamais rapide ou fascinante. Mais c'était un objet indispensable dans la vie de beaucoup de personnes.